
C'est peut-être anecdotique pour vous qui êtes désormais habitués à mes critiques culturelles si pertinentes et si exceptionnelles, mais le jardinage a quelque chose extrêmement gratifiant. Voici ma première récolte, datée d'aujourd'hui, tout légume ou fruit confondu. 3 oignons et surtout des pommes de terre et ce n'est là que le résultat de trois plants. Il va sans dire qu'une partie de cette récolte a déjà été dégustée par nos soins ce soir : 5 rouges sont passées à la casserolle, sautées, un peu d'huile, un peu de beurre, et du persil du jardin, of course. C'est délicieux, une merveille, et c'est pas juste parce que c'est moi qui les ai fait pousser. Elles fondent dans la bouche, elles ont un vrai goût, et le persil frais apporte un plus incomparable. C'est un vrai bon plaisir. Manger le fruit de son petit labeur est une chose très agréable, et qui donne un léger sentiment de fierté pas désagréable.
Ce qui permet aussi à ceux qui m'imaginaient en geek casanier (c'est qui est en partie vrai) de découvrir ainsi mon Charles Ingalls intérieur, ce qui me donne, j'en suis sûr, un supplément de sex-appeal qui va faire exploser l'audience de ce blog.
Ce qui permet aussi à ceux qui m'imaginaient en geek casanier (c'est qui est en partie vrai) de découvrir ainsi mon Charles Ingalls intérieur, ce qui me donne, j'en suis sûr, un supplément de sex-appeal qui va faire exploser l'audience de ce blog.