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23 septembre 2009

(Mise à jour du post précédent ) Blood Bowl PC


Depuis hier, je me suis penché sur la version PC de Blood Bowl, dont j'ai chroniqué le portage DS dans le précédent post.

Et mâtin, on joue tout de même dans une autre catégorie. Loin de moi l'idée de comparer, car la comparaison ne peut tenir, les deux versions en terme graphique (cinématique de toute beauté, terrains classieux, tronches impeccables), en revanche question jouabilité, durée de vie et prise en main, la version PC est quasi parfaite. Si vous savez lire, cliquez sur le bouton gauche pour sélectionner un joueur et droit pour lui faire faire une action, et appuyer avec votre main gauche sur la barre espace, vous pouvez jouer à Blood Bowl.

La vraie nouveauté, et sur laquelle j'étais plutôt sceptique question jouabilité, est sur le mode temps réel. Il y a toujours le choix de jouer comme sur le jeu de plateau en tour par tour, mais le mode en temps réel vous permet de jouer un match comme vous pouviez l'imaginer, mais jamais vraiment le jouer. C'est pas simple au départ mais c'est rapidement très fendard, et très addictif. De plus le système de campagne est très bien fait et on retrouve ce que l'extension Zone Mortelle avait apporté au jeu de plateau : ligues, évolution des joueurs, coups fourrés, achat de star, importance du public et des pom-pom girls.

Question choix d'équipe, c'est fourni (8 races sont présentes), même si (mais je pinaille un peu) on aurait pu souhaiter la présence d'autres absentes telles que les elfes noirs, morts-vivants, vampires, nains du chaos, amazones, halflings (chauds à jouer mais drôles quand même), ogres, nurgles, nordiques ou hauts elfes. Mais il semble qu'un add-on soit plus ou moins dans les tuyaux, alors croisons les doigts pour que toutes ces équipes soient présentes.

Contrairement à ce que me disait David dans son commentaire sur le post précédent, je ne trouve pas qu'il soit simple de gagner, même en temps réel. Pas plus tard qu'hier soir (en difficulté normale), j'avais un écart de trois touchdown d'avance sur une équipe de nains, j'ai fini à deux doigts de la correctionnelle en m'en faisant remonter deux. La vrai qualité du jeu est finalement d'avoir le choix entre deux plaisirs distincts mais d'une difficulté similaire : le temps réel (très arcade) et le tour par tour (très plateau, sensations intactes).

Chapeau bas à Cyanide, le studio qui a réalisé ce jeu, car jusqu'aux magnifiques terrains et aux commentaires des matchs, le plaisir du jeu tel que je le jouaix il y a quelques années est intacte, et l'esprit plus que respecté.

18 septembre 2009

L'Humeur Gameuse D'En Ce Moment

L'avantage avec des petites filles qui grandissent, doucement mais surement, c'est que le temps qui peut être consacré à un amateur de jeux vidéos augmente proportionnellement aux centimètres et aux kilos des demoiselles pré-citées (sans pour autant que ce soit exponentiel, non plus, et puis y'a la maison à faire tourner). Certes, mon grand projet ultime de brancher l'ensemble de mes consoles en un seul et même endroit reste pour l'instant en sommeil, mais il se réalisera...

Sur PC, je suis très oldies et, à coté de LFP Manager 2007 (je viens d'attaquer un mode carrière comme je ne l'avais jamais fait, débutant au bas de l'échelle avec un obscur club ukrainien que j'ai mené à la 6ème place du championnat, et en demi-finale de la coupe pour ma première saison, et avec lequel je suis actuellement deuxième après 10 matchs, sachant que je signerai une année de plus si je peux vivre une aventure européenne en fin de saison) dont je ne suis toujours lassé, je suis retourné à Warcraft III et à son extension The Frozen Throne, ce qui est un excellent rutabaga, à défaut de n'avoir pas les moyens pour un abonnement mensuel au magnifique World of Warcraft.
Voilà un jeu qui garde de grandes qualités (jouabilité, visuels, cinématiques, graphismes, campagnes) et un intérêt toujours intact malgré ses quelques années au compteur.

Sur DS, je viens d'attaquer Blood Bowl, ce qui me rappelle l'époque des parties endiablés avec mon équipe de gobelins (je suis maso) sur le jeu de plateau.

Si l'on retrouve sans problème l'ambiance du jeu et l'aspect aléatoire des jets de dés (du coup l'esprit jeu de plateau est bien présent), la difficulté est grande (quasi impossible de gagner un match la première saison) et peu rebuter, ou lasser très vite quiconque n'est pas un peu rompu aux canons du jeu de plateau traditionnel. Coté graphisme, peut mieux faire aussi, la DS nous ayant prouver qu'avec GTA Chinatown Wars, on pouvait faire de jolies choses sur cette console pas très gaming spirit il fait l'avouer.

Enfin je joue aussi beaucoup à ProEvolutionSoccer 6 sur cette même console. Si je m'éclate bien à jouer le matchs, soyons honnêtes : le portage du jeu sur cette console n'a été fait que pour le fric, vu le peu de soins apporté à la jouabilité, ou l'adaptation des possibilités de la console pour ce type de jeu, et à la durée de vie générale du jeu. Il y a honnêtement plus d'intéret à ressortir sa PSOne du placard pour jouer à PES que de jouer avec cette vilaine version de ce titre sur DS.

10 octobre 2008

Dreamcast - Premier bilan

Après quelques achats d'utilité quasi publique, un nettoyage au coeur de la bestiole et un tri dans les jeux qui fonctionnent ou pas et les éventuelles bouses que j'ai récupéré dans mon achat, je peux désormais vous dire que je suis tout d'abord très heureux de cette acquisition.

Sega n'avait décidement pas fait les choses à moitié et a donné aux joueurs l'une des seules machines ou le mot arcade a véritablement un sens, sachant également que Sega était l'un des leaders des bornes bouffeuses de monnaie que certains d'entre nous ont connus dans leur prime jeunesse.

Virtua Tennis (1 et 2), House of the Dead 2, Ready to Rumble, Sega Rally, voilà des jeux pour les gamers, les nostalgiques de l'arcade. Les sensations, les graphismes, les musiques, tout rappelle ce temps béni où on imaginait même pas que le casual (WiiFit et autre j'apprends à faire la cuisine en gymnastiquant mon cerveau pour réussir ma vie et qu'on me dise que j'ai suffisament marché aujourd'hui) ferait vendre des consoles.

La Dreamcast était et reste une grande console de jeu ; elle ne veut pas nous apprendre la vie, les bonnes manières, la cuisine, la marche à pied ou l'aerobic. L'objectif de Sega était d'ammener, à mon humble avis, le savoir-faire arcade (avec le plaisir incomparable que pouvaient procurer ces jeux) aux joueurs, grace aux progrés technologiques qu'ils disposaient désormais en terme de miniaturisation, de processeurs et de stockages des données.

Mais cette console était presque un objet nostalgique dès sa sortie, en raison du début de la fin des bornes d'arcade, coïncidant avec la montée en puissance de Sony qui explosera la Dreamcast avec sa Playstation. Cette amour du jeu vidéo version arcade n'allait devenir peu à peu qu'un souvenir, qu'une madeleine pour les joueurs de cette époque. Et je comprends désormais ce qui se raconte ici.

Je suis heureux d'être le possesseur d'une vraie grande console, qui n'était pas qu'un produit, mais aussi une certaine vision du jeu vidéo, de moins en moins présente chez les concepteurs de consoles actuelles.

30 septembre 2008

Ma nouvelle lubie de geek -suite-

Vous n'imaginez pas l'excitation que j'avais en tombant, à l'entrée de ce dépôt-vente au Mont-Dore, sur cette Sega Dreamcast. Pour les non-geeks ou les plus jeunes, c'est juste la dernière console que Sega a produite et commercialisé, sachant qu'à part la MegaDrive, la plupart des consoles de Sega, bien que souvent pionnières en bien des points, se sont toujours fait bouffées par les concurrents.

Ma première console était une Sega, et au fond de moi, j'aurai toujours un petit crush en plus pour la firme au hérisson bleu. J'ai toujours préféré les loosers. Pour moi, gamin, Sega avait une image de marque marginale, dans le sens punk à chien, pas très conforme, succés limité. Mes camarades à l'époque avaient d'ailleurs plus de Nintendo que de Sega. Déjà un geek sans le savoir, je vous l'ai déjà dit !

Quel intérêt de rebrancher alors ses vieilles consoles ? D'abord, je le savais, je savais qu'il fallait que je garde précieusement mes vieilles bécanes, même si leurs jeux et leurs performances font plus office de Pong 3G que de MMORPG en 8D cadençant à 45896582Hz. Parce que tout ça a le goût de la nouveauté de l'époque, et que l'époque des consoles cinquième (PSOne, N64,) sixième (PS2 ou Dreamcast) ou septième (Xbox 360 ou Wii) génération nous paraissaient autant un futur inaccessible et fantasmatique que devait paraître l'an 2000 au gens des 50's. Parce que tout ça à le goût de l'enfance finalement.

Et pourquoi la Dreamcast? Un vrai retour dans le futur du retogaming, je l'accorde. Tout simplement par segaphilie. Un peu comme Atari (bien plus poisseux tout de même en terme de console que Sega), Sega a combiné un vrai pif de précurseur (un modem intégré à une console, les premiers c'est Sega avec la Dreamcast, la deuxième console portable couleur, c'est la GameGear de Sega) avec des échecs ultra cuisants comme le MegaCd pour la Megadrive, la Saturn ou l'extension 32X toujours pour la Megadrive. Avec la Dreamcast, j'ai (presque) trouvé l'alpha et l'omega de mon côté gamer, toujours et pour toujours attaché au hérisson bleu, avec d'un coté ma MasterSystemII (j'ai pitête bien un plan pour choper la I) et de l'autre la Dreamcast.

Et de fait je me mets aux grosses manettes, moi qui trouvait celles des X-Box injouables et qui, nostalgique, regrettait l'époque où on arrivait à faire presque autant de chose avec 2, maxi 6 boutons et un paddle.

29 septembre 2008

Ma nouvelle lubie de geek

Et ma petite dernière (une misère dans un dépot-vente du Mont-Dore)...


Je vous en parle très amoureusement dans ces prochains jours...
En attendant, je suis preneur de tout ce qui se prénomme Atari, Megadrive, MegaCD, Master System 1, et tout ce qui ressemble à des jeux pour les trois bestioles ci-dessus. A bon entendeur !

24 décembre 2007

Ma vie de geek, vol.1

J'aurai pourtant tout essayé pour l'avoir, et avant tout d'utiliser ma fille de manière éhontée. "De quoi avez-vous besoin pour Margot ? Qu'est-ce qui vous ferez plaisir ?" Réponse tentée : "Une Wii, c'est pour son développement psychomoteur." Mais ces appels du pieds n'ont pas eu de suite et me voilà, Noël arrivant, dans l'impossibilité d'apporter tous les éléments dans la vie de ma fille pour qu'elle est un papa heureux et épanoui.

Certains d'entre vous pourraient qualifier le précédent paragraphe comme un vrai discours de connard, et ils n'auraient surement pas tort. Mais il faut me comprendre. Ma première console c'était une Master System II, et j'en ai passé du temps à essayer de finir Alex Kidd in Miracle World, puis deux après les autres j'ai eu ma Super NES (ah, Mario...), et entre temps une Game Boy sur laquelle j'aurai passé quelques dizaines d'heures à finir Mystic Quest l'été dans la voiture. Puis un jour, la chance me fait gagné à un loto une PSOne, et je m'éclate la quiche sur GranTurismo II et les rééditions des vieux Final Fantasy. Oui je suis un gamer au fond de moi depuis très longtemps, et je serais célibataire, je serai je crois un no-life, un coréen, le genre de mec qui dort 2 heures tous les trois jours.

Mais heureusement pour mon hygiène de vie, je ne le suis pas. Et grâce à ma chargée de mission en relations humaines (ma chère et tendre que j'aime d'amûûûr), j'ai des amis en vrai et pas que virtuels. Et grâce à eux je peux redevenir le temps d'une demi-heure un geek, un vrai, qui serait capable de rester des heures entière à faire l'andouille avec ce type de console. Mais l'avantage de la Wii est qu'elle n'est pas une console de gamer mais plutôt une console à vocation conviviale, être en famille ou entre amis et se marrer parce que faut bien le dire, c'est ridicule de vouloir faire courir Sonic en jouant des maracas. Mais ça fait, et je sais que vous avez tous pensé bandes de petits salopiauds, un excellent exercice pour la branlette, ou pour la batterie, ou la cuisine. En tout cas, ça ne peut que faire du bien aux couples, hein mon amour ? Dis, tu sais, il reste encore les étrennes, et la Saint-Valentin...

31 août 2006

Obscure nature morte...


J'ai à nouveau une période hardcore gamer, avec comme toujours des vieilleries, Still Life et Obscure (d'où le titre de ce post, still life se traduisant par nature morte pour les non-anglophones). Des vieilleries qui m'éclatent.
Le premier est une enquête double, entre 1929 à Prague et 2005 à Chicago, et l'enquêteur de 1929 étant le grand-père de l'enquêtrice de 2005. Si parfois le jeu manque un peu d'action, les cinématiques sont magnifiques, les énigmes ardues et le mystère prenant et passionnant, l'enquête de 29 étant plus que liée à l'enquête de 2005.
Le second est un joyeux mélange entre Silent Hill, Buffy et American Pie, avec une ambiance glauquissime, une difficulté croissante, et à la fin c'est addictif.

J'ai aussi une grosse envie de World Of Warcraft. J'hésite vraiment à rentrer dedans... Mais ça sert à rien d'acheter ce jeu maintenant, parce que demain c'est les vacances et dans 4 jours c'est départ à Mayotte jusqu'au 24 septembre. Mais ça me taraude...

La musique me manque un chouia quand même, et ça fait des plombes qu'on a pas répété avec les Jeudi12. Mais attention, le 7 octobre, nous sommes de retour pour le mega concert de rentrée que Madonna elle pâlirait devant... Du sexe, de la provocation, de l'engagement, des chapeaux de paille, des chemises à fleurs, de l'humour bien senti là où ça fait mal dans les couilles de la société, de la dénonciation (chez nous, pendant la guerre, on a ptête donné les juifs, mais on a jamais donné les bons coins à champignons), de l'amour, un chanteur torse nu, des mentons poilus, des textes finement ciselés sur des mélodies imparables... Ca sera tout ça, et plus encore, le concert du 7 octobre des Jeudi12...



LES JEUDI 12

UN GROUPE ENGAGE SUR LA SEULE ET UNIQUE BONNE VIEILLE VALEUR DU MUSIC-HALL :
LE CANOTIER !





Putain, les gars, z'avez vu la promo qu'euj'nous fait, merde ! Vot' président il nous aime hein, bordel de foutre divin ! Dommage que j'ai pas l'audience d'un site porno...

05 juin 2006

Hardcore Gaming



Boys just wanna have fun... Je me sens l'âme coréenne, du genre hardcore gamer.

All I wanna do is play...



Voilà trois de mes marottes du moment, je sais c'est pas de première jeunesse, mais ça m'éclate. Et puis c'est un plaisir qui coûte cher, alors les oldies c'est pas mal non plus pour le porte-monnaie.

D'ailleurs à propos de joueurs, les japonais en sont de sacrés, disons que les manettes sont parfois... étonnantes. L'imagination scabreuse et délirante de ce peuple me fascine, définitivement...
Pour finir, et revenir sur le jeu vidéo, en voilà un, bien que Noël n'arrive que dans 6 mois, qui ravira les gens aigris et misanthropes comme moi...

16 avril 2006

For Old School Geeks' Eyes Only


Remember 1991... Vous aviez une Megadrive ou une SuperNES. Ou peut-être aviez-vous un Amiga ou un Atari.
Cet année-là, un petit chef d'oeuvre est sorti : ANOTHER WORLD.

Un jeu d'aventure innovant, très addictif, au scénrio passionant avec une réalisation unique en son genre pour l'époque. Le genre de jeu qui marque son époque et qui marque tout court.

C'était il y a 15 ans et depuis, votre console ou votre vieil Atari St sont depuis longtemps dans un carton, ou vendus lors d'une brocante, ou tout bonnement recyclés en un tube de dentifrice ou en jambon blanc depuis votre déplacement à la déchetterie il y a deux mois.

En vous souvenant de cette petite perle, j'arrive à vous tirer une larme ? C'est que vous n'êtes pas vraiment sortis d'affaire. Car en cliquant ici, vous pourrez redécouvrir dans une version remasterisé (mais gardant tout son bon vieux charme) ce jeu. Et pour 7€, vous aurez la version complète, ce qui en soit n'est pas très cher. Et puis je ne touche rien dessus, même si tout ce post est finalement de la pub.

En même temps, c'est pas comme si j'avais une audience de 10000 lecteurs par jour...