Depuis quelques jours, une phrase revient de manière récurrente et intempestive dans mes pensées, sans que je ne puisse la comprendre. Plus j'essaye de l'appréhender, et plus son sens m'échappe. Pourtant, je sens que là se tient un moment clé de la pensée post-moderne.
Je ne connais a priori aucun fan et exégète de la vilaine fermière dans mon entourage plus ou moins proche, mais j'ai bon espoir de comprendre un jour. D'avance, merci.
Je ne connais a priori aucun fan et exégète de la vilaine fermière dans mon entourage plus ou moins proche, mais j'ai bon espoir de comprendre un jour. D'avance, merci.
"Aimer, c'est pleurer quand on s'incline."
Libertine-Mylène Farmer
Libertine-Mylène Farmer
7 commentaires:
Alors moi je comprend ça comme ça :
Pleurer quand on s'incline => quand on s'incline=quand on échoue, hors si on pleure quand on avou un échec, c'est que on était impliqué passionement dans la "quête" qui viens de mal se terminer. donc si on pleure un échec, c'est qu'on aimé ce qu'on faisait. Exemple un footballeur qui pleure car il perd la coupe la coupe d'europe aime le foot, car il pleure sa défaite, son inclinaisons, ses larmes prouve son amour du foot.
Ptin en me relisant je me dis que je suis vraiment géniale, mon génie n'a aucune limite! pas même mylène farmer
ouais mais si tu replace dans le contexte plutôt mega cochon de la chanson, je suis sûr que y'a un putain de double sens, mais merci de faire avancer ma pensée.
An fait il faut comprendre "Aimer, c'est pleurer quand ton sein cligne"
Ce qui ne veut toujours rien dire mais là ça devient un peu plus cochon....
je m'incline...
Encore une qui s'est fait prendre à sec par derrière une fois, et comme ça l'a un peu piqué, elle en a pleuré.....
Désolé....
effectivement, je rappelle que le début du couplet est : "fendre la lune, baisers d'épines et de plumes"... tout s'éclaire bravo Fabrizio
Comme Mylène, je m'incline. Merci ô toi lumière divine.
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