Vous n'imaginez pas l'excitation que j'avais en tombant, à l'entrée de ce dépôt-vente au Mont-Dore, sur cette Sega Dreamcast. Pour les non-geeks ou les plus jeunes, c'est juste la dernière console que Sega a produite et commercialisé, sachant qu'à part la MegaDrive, la plupart des consoles de Sega, bien que souvent pionnières en bien des points, se sont toujours fait bouffées par les concurrents.
Ma première console était une Sega, et au fond de moi, j'aurai toujours un petit crush en plus pour la firme au hérisson bleu. J'ai toujours préféré les loosers. Pour moi, gamin, Sega avait une image de marque marginale, dans le sens punk à chien, pas très conforme, succés limité. Mes camarades à l'époque avaient d'ailleurs plus de Nintendo que de Sega. Déjà un geek sans le savoir, je vous l'ai déjà dit !
Quel intérêt de rebrancher alors ses vieilles consoles ? D'abord, je le savais, je savais qu'il fallait que je garde précieusement mes vieilles bécanes, même si leurs jeux et leurs performances font plus office de Pong 3G que de MMORPG en 8D cadençant à 45896582Hz. Parce que tout ça a le goût de la nouveauté de l'époque, et que l'époque des consoles cinquième (PSOne, N64,) sixième (PS2 ou Dreamcast) ou septième (Xbox 360 ou Wii) génération nous paraissaient autant un futur inaccessible et fantasmatique que devait paraître l'an 2000 au gens des 50's. Parce que tout ça à le goût de l'enfance finalement.
Et pourquoi la Dreamcast? Un vrai retour dans le futur du retogaming, je l'accorde. Tout simplement par segaphilie. Un peu comme Atari (bien plus poisseux tout de même en terme de console que Sega), Sega a combiné un vrai pif de précurseur (un modem intégré à une console, les premiers c'est Sega avec la Dreamcast, la deuxième console portable couleur, c'est la GameGear de Sega) avec des échecs ultra cuisants comme le MegaCd pour la Megadrive, la Saturn ou l'extension 32X toujours pour la Megadrive. Avec la Dreamcast, j'ai (presque) trouvé l'alpha et l'omega de mon côté gamer, toujours et pour toujours attaché au hérisson bleu, avec d'un coté ma MasterSystemII (j'ai pitête bien un plan pour choper la I) et de l'autre la Dreamcast.
Et de fait je me mets aux grosses manettes, moi qui trouvait celles des X-Box injouables et qui, nostalgique, regrettait l'époque où on arrivait à faire presque autant de chose avec 2, maxi 6 boutons et un paddle.
Ma première console était une Sega, et au fond de moi, j'aurai toujours un petit crush en plus pour la firme au hérisson bleu. J'ai toujours préféré les loosers. Pour moi, gamin, Sega avait une image de marque marginale, dans le sens punk à chien, pas très conforme, succés limité. Mes camarades à l'époque avaient d'ailleurs plus de Nintendo que de Sega. Déjà un geek sans le savoir, je vous l'ai déjà dit !
Quel intérêt de rebrancher alors ses vieilles consoles ? D'abord, je le savais, je savais qu'il fallait que je garde précieusement mes vieilles bécanes, même si leurs jeux et leurs performances font plus office de Pong 3G que de MMORPG en 8D cadençant à 45896582Hz. Parce que tout ça a le goût de la nouveauté de l'époque, et que l'époque des consoles cinquième (PSOne, N64,) sixième (PS2 ou Dreamcast) ou septième (Xbox 360 ou Wii) génération nous paraissaient autant un futur inaccessible et fantasmatique que devait paraître l'an 2000 au gens des 50's. Parce que tout ça à le goût de l'enfance finalement.
Et pourquoi la Dreamcast? Un vrai retour dans le futur du retogaming, je l'accorde. Tout simplement par segaphilie. Un peu comme Atari (bien plus poisseux tout de même en terme de console que Sega), Sega a combiné un vrai pif de précurseur (un modem intégré à une console, les premiers c'est Sega avec la Dreamcast, la deuxième console portable couleur, c'est la GameGear de Sega) avec des échecs ultra cuisants comme le MegaCd pour la Megadrive, la Saturn ou l'extension 32X toujours pour la Megadrive. Avec la Dreamcast, j'ai (presque) trouvé l'alpha et l'omega de mon côté gamer, toujours et pour toujours attaché au hérisson bleu, avec d'un coté ma MasterSystemII (j'ai pitête bien un plan pour choper la I) et de l'autre la Dreamcast.
Et de fait je me mets aux grosses manettes, moi qui trouvait celles des X-Box injouables et qui, nostalgique, regrettait l'époque où on arrivait à faire presque autant de chose avec 2, maxi 6 boutons et un paddle.