Finies les vacances ! Et merde... Reprise du travail par un internat, au Mont-Dore, sympathique (au premier abord, mais d'un attrait digne de Vierzon ou de Bondouffle quand on y vient aussi souvent et pour travailler) station de sports d'hiver et de loisirs natures du Puy de Dôme. Un internat, le week-end, c'est départ 17h30 vendredi et retour dimanche à 17h30, avec 4h de pause en tout sans moyen de s'échapper. Il manque qu'une énorme boule blanche qui te poursuit et bienvenue dans une ambiance digne du Prisonnier. J'exagère, mais à peine.
Du coup me voilà en pause, il est 17h45 et je suis à Sancyber, le cyber café du Mont-Dore, que j'ai déjà évoqué et dont les proprios ont été, sans vraiment le savoir, d'un soutien appréciable cet été durant mes semaines d'internat.
Je travaille avec une faux-cul psychorigide plutôt désagréable à vivre au delà de 48h. Oui, je sais, j'ai un seuil de tolérance plutôt élevé envers les ménagères psychorigides de moins de 50 ans.
J'ai hâte de rentrer chez moi. Si seulement je ne faisais pas ces internats (1 week-end par mois ou presque ainsi que la moitié des vacances scolaires), le reste de ce travail me conviendrait, même si mon salaire est un peu en-deça de ce que je suis en droit d'attendre.
Bon, j'arrête de parler des choses qui gonflent. Bon je pourrais parler du fugu, un poisson qui gonfle lui aussi. Ah. Ah. Ah.
Des nouvelles des Jeudi12, mon meilleur groupe du monde. Plein de concerts : le 7 octobre à Mauzun (63) à la Licorne, le 17 octobre aux Bar des Beaux-Arts (l'affiche dès que je rentre!) à Clermont-Ferrand (63) et le 28 octobre vers Lyon, mais j'en sais pas plus.
Je constate ainsi, sans vouloir me lancer trop de louanges, que, depuis que je suis à la tête de cette association de coquins selon les statuts déposés à la préfecture, ma conduite éclairée vers de glorieux horizons communistes est en train de nous ammener aux portes soit du paradis, soit de la gloire, soit des deux si je décide de devenir le Jim Jones auvergnat.
Sur ce, bisous dans le cul.
Du coup me voilà en pause, il est 17h45 et je suis à Sancyber, le cyber café du Mont-Dore, que j'ai déjà évoqué et dont les proprios ont été, sans vraiment le savoir, d'un soutien appréciable cet été durant mes semaines d'internat.
Je travaille avec une faux-cul psychorigide plutôt désagréable à vivre au delà de 48h. Oui, je sais, j'ai un seuil de tolérance plutôt élevé envers les ménagères psychorigides de moins de 50 ans.
J'ai hâte de rentrer chez moi. Si seulement je ne faisais pas ces internats (1 week-end par mois ou presque ainsi que la moitié des vacances scolaires), le reste de ce travail me conviendrait, même si mon salaire est un peu en-deça de ce que je suis en droit d'attendre.
Bon, j'arrête de parler des choses qui gonflent. Bon je pourrais parler du fugu, un poisson qui gonfle lui aussi. Ah. Ah. Ah.
Des nouvelles des Jeudi12, mon meilleur groupe du monde. Plein de concerts : le 7 octobre à Mauzun (63) à la Licorne, le 17 octobre aux Bar des Beaux-Arts (l'affiche dès que je rentre!) à Clermont-Ferrand (63) et le 28 octobre vers Lyon, mais j'en sais pas plus.
Je constate ainsi, sans vouloir me lancer trop de louanges, que, depuis que je suis à la tête de cette association de coquins selon les statuts déposés à la préfecture, ma conduite éclairée vers de glorieux horizons communistes est en train de nous ammener aux portes soit du paradis, soit de la gloire, soit des deux si je décide de devenir le Jim Jones auvergnat.
Sur ce, bisous dans le cul.