Pour tout ce qui est ciné, bouquins, séries et musiques, c'est désormais, qu'on se le dise, sur STRANGELOSCOPIQUES ! Faites passer le mot !

24 mai 2008

Le nouveau visage du service public télévisuel

Nous disions donc...

Plus de pub...

Une volonté d'accéder à une certaine qualité, sous l'influence d'Arte et de la BBC...

Du culturel, du sens, de l'intelligence...

Se démarquer vraiment des chaînes commerciales...

Pas de racolage, de populisme donc...



03 mai 2008

Le copain du mois (mai 2008)

Albert Dupontel

Peu à peu, il gagne (enfin) ses galons mainstream, mais finalement il doit s'en foutre, ou peut-être pas, car il n'est pas que ce fou (génial) qu'il était sur scène, ou quand il fait ses (très bons) films (Enfermés Dehors, si chaplinesque tout en restant du Dupontel pur jus). Il est aussi un autre grand acteur français (à égalité avec lui, et j'y repense, Kassovitz en acteur est très bon aussi), moins glamour et sex symbol surement, mais il partage avec mon pénultième copain du mois un amour sincère du cinéma, et une vraie gueule de cinéma, et un éclectisme assumé pour le meilleur ou le moins bon (Serial Lover entre autre).

Irréversible (tiens, v'la Cassel...), La Maladie de Sachs, Un Héros Très Discret (tiens, v'la Audiard et Kassovitz...), Le Convoyeur, 4 films très différents, que je propose à ceux pour qui il n'est encore que Bernie.

02 mai 2008

La Copine du Mois (mai 2008)

Beth Gibbons

Intrigante, envoutante pour certains, comme moi

Pénible, chialeuse, déprimante au mieux pour d'autres.

Ce n'est pas un sex-symbol, mais elle est unique. Beth Gibbons n'a pas d'équivalent artistique, à la fois soul, rock, jazzy, et ce quelque chose en plus, ou en trop, qui fait hérisser les poils, pour le meilleur (comme pour moi) ou le pire.
Il y a quelques semaines, je vous disais à quel point la nouvelle d'un nouvel album de Portishead m'emplissait de joie. Une chronique bientôt, mais pas tout de suite, ma platine ne comprenant pas vraiment mon envie de l'écouter plus qu'une seule fois. Je peux seulement vous dire que dix ans d'attente, c'était beaucoup mais que ça ne m'empêche pas d'en penser déjà beaucoup de bien.