Take the long way home

Allez, je ne vous fais pas languir trop longtemps.

Si vous ne lisez jamais ce blog, tant pis pour vous.

Oui.

J'ai un scoop.

Un vrai.

Un vrai de vrai.

Avec de la vraie vérité dedans.

Directement issue d'une source plus fiable que Gorge Profonde (non pas ça, ni ça, pas ça non plus même si c'est un épisode fondateur, mais ça, oui, ça, bande de petits salopiaux).

En plus, j'aime pas faire trainer les choses.

Ni faire poireauter qui que ce soit.

J'aime pas ça poireauter, alors pourquoi je vous le ferais subir ?

En même temps, je me souviens plus ce que je voulais dire.

Attendez, ça va me revenir.

Je l'ai sur le bout de mes doigts qui tapotent sur mon clavier.

Ah oui !

Euh, non en fait.

Si, ça y est. J'ai trouvé.

Je suis un vrai con, non ? Tout ça pour vous dire que nous y sommes. Dans la dernière longue ligne droite. C'est pour ce week-end, ou lundi au pire. Après moults tergiversations et monitoring en tout genre, notre amie prostaglandine est entrée sur le terrain des opérations pour nous donner son petit coup de pouce. Bientôt, nous montrerons à la face du Monde son destructeur, son sauveur, son Antéchrist, son ultime prophète avant la fin des temps, ou juste un ou une poète, moins que rien, va-nu-pied, ou quoi que ce soit d'autre. Et oui, il ou elle aura un prénom, et même des prénoms (trois dans chaque cas).

Et vous ne saurez rien. Na.