Mao et Staline en avait fait une de leurs luttes communes en leur temps, en atteste cette affiche de ce lundi de Pâques 1956. D'ailleurs, ce que l'affiche ne montre pas, c'est que ce polisson de Zedoung pelote l'arrière-train du Petit Père des Peuples avec sa dextre experte, pendant que Joseph cherche de la main gauche l'anal plug en forme de faucille que lui a offert Lenine en 1918, et qu'il a mis dans la poche de sa toute nouvelle redingote blanche d'apparat. Le blanc rend Mao tout chose... Mais je m'éloigne de mon sujet, bien que je sens que vous, lecteurs et lectrices, avez soudain senti la sève, ou comme une chaleur, une torpeur vous parcourir la colonne vertébrale et déclencher chez vous un râle incontrôlé de pure excitation, alors que ce n'est vraiment pas le moment, salopiauds.
Je disais donc. Aujourd'hui, il est temps de retrouver les vraies bonnes valeurs des années 50, Mao et Staline avaient finalement raison, et ce bien avant le programme Manger-Bouger dont d'ailleurs Elles se contrefoutent éperdument.
Oui, car Elles nous narguent, alors que nous essayons de combattre le fléau de l'obésité, de ces petits gros qui ne feront ni des futurs Zidane ni des futurs Tony Parker, de ces petites boules à couettes qui nous feront regretter les Laetitia Casta et autres Clara Morgane qu'elles ne remplaceront ainsi jamais dans l'imaginaire moite des futures chambres d'adolescents en perte de repère.
Oui, Elles nous narguent en déposant dans nos pelouses leurs oeufs si délicatement enrobés dans du joli papier qui brille et qui fait miroiter à nos enfants des paradis artificiels et d'où les observe le spectre de finir tout bouffi dans 30 ans, devant la télé avec un kilo de chips dans la main droite, la main gauche accrochée aux morpions et un pack de Kro a portée de tong.
On croyait que c'était bon, qu'Elles ne reviendraient plus depuis que notre gouvernement avait pris la courageuse décision de nous rappeler, à chaque pub pour un yaourt, que c'est pas bien de manger trop salé, trop sucré, trop gras et que si tu tranches mal ton ananas t'auras des aphtes. Ben non, tout ça n'a servi à rien, la diplomatie a échoué. Alors, je dis revenons aux Pères Fondateurs, à ceux qui, malgré le poids de l'histoire, ont osé aller contre les préjugés et le sourire béat de nos chers têtes blondes
Comme eux je dis tuez les toutes putain de bordel de merde ! Saloperie de cloches ! Pourritures consuméristes ! Et que même si c'est aussi des lapins dans certains coins, ben tuez aussi les lapins ! En plus, les lapins c'est lubrique comme tout...
Tout autre chose. Alors, c'est quand même pas compliqué mon jeu... Pas âme qui vive, pas la moindre élaboration d'une réflexion quelconque. Ca vous ramollit le cerveau, le chocolat (comme quoi...). Pour vous motiver, je tiens à vous faire part du témoignage d'Arthur C., le grand gagnant des 2 premiers concours de ce blog :
"Depuis que j'ai gagné tous ces merveilleux cadeaux, je ne suis plus le même et le regard des gens autour de moi a changé. Mon esprit est plus vif, les femmes m'admirent et les chipendales me jalousent. Mes parents me vouvoient désormais et me demandent une autorisation écrite avant de m'adresser la parole. Les casinos m'accueillent toujours très poliment et je ne sais pas pourquoi, je gagne presque à tous les coups. De fait, j'ai acquis suffisamment de confiance en moi pour décrocher cette année mon bac, et pourquoi pas le permis, et ainsi je deviendrai le Maître de l'Univers et vous pèterai tous vos sales gueules d'enc..." Suite à un problème technique nous ne pouvons vous diffuser l'intégralité de ce témoignage.
Alors, motivés ? Eh bien, qu'attendez-vous ? Vous avez jusqu'au 1er mai inclus pour changer définitivement le cours de votre vie en tentant de gagner à mon super jeu-concours du mega mois anniversaire du blog le plus discret du monde !
MàJ-13h20 : Comme quoi, quand on motive les troupes... J'ai un gagnant du jeu lancé hier. Il s'agit de Ben, 2 des quatre mains de ce blog, et voici sa réponse (exacte bien sûr). Bravo bel homme :
Je disais donc. Aujourd'hui, il est temps de retrouver les vraies bonnes valeurs des années 50, Mao et Staline avaient finalement raison, et ce bien avant le programme Manger-Bouger dont d'ailleurs Elles se contrefoutent éperdument.
Oui, car Elles nous narguent, alors que nous essayons de combattre le fléau de l'obésité, de ces petits gros qui ne feront ni des futurs Zidane ni des futurs Tony Parker, de ces petites boules à couettes qui nous feront regretter les Laetitia Casta et autres Clara Morgane qu'elles ne remplaceront ainsi jamais dans l'imaginaire moite des futures chambres d'adolescents en perte de repère.
Oui, Elles nous narguent en déposant dans nos pelouses leurs oeufs si délicatement enrobés dans du joli papier qui brille et qui fait miroiter à nos enfants des paradis artificiels et d'où les observe le spectre de finir tout bouffi dans 30 ans, devant la télé avec un kilo de chips dans la main droite, la main gauche accrochée aux morpions et un pack de Kro a portée de tong.
On croyait que c'était bon, qu'Elles ne reviendraient plus depuis que notre gouvernement avait pris la courageuse décision de nous rappeler, à chaque pub pour un yaourt, que c'est pas bien de manger trop salé, trop sucré, trop gras et que si tu tranches mal ton ananas t'auras des aphtes. Ben non, tout ça n'a servi à rien, la diplomatie a échoué. Alors, je dis revenons aux Pères Fondateurs, à ceux qui, malgré le poids de l'histoire, ont osé aller contre les préjugés et le sourire béat de nos chers têtes blondes
"Do broujdaniev kroporski vlach tonievskaya !"
" Zeng chichun tolong fang zimou !"
Comme eux je dis tuez les toutes putain de bordel de merde ! Saloperie de cloches ! Pourritures consuméristes ! Et que même si c'est aussi des lapins dans certains coins, ben tuez aussi les lapins ! En plus, les lapins c'est lubrique comme tout...
Tout autre chose. Alors, c'est quand même pas compliqué mon jeu... Pas âme qui vive, pas la moindre élaboration d'une réflexion quelconque. Ca vous ramollit le cerveau, le chocolat (comme quoi...). Pour vous motiver, je tiens à vous faire part du témoignage d'Arthur C., le grand gagnant des 2 premiers concours de ce blog :
"Depuis que j'ai gagné tous ces merveilleux cadeaux, je ne suis plus le même et le regard des gens autour de moi a changé. Mon esprit est plus vif, les femmes m'admirent et les chipendales me jalousent. Mes parents me vouvoient désormais et me demandent une autorisation écrite avant de m'adresser la parole. Les casinos m'accueillent toujours très poliment et je ne sais pas pourquoi, je gagne presque à tous les coups. De fait, j'ai acquis suffisamment de confiance en moi pour décrocher cette année mon bac, et pourquoi pas le permis, et ainsi je deviendrai le Maître de l'Univers et vous pèterai tous vos sales gueules d'enc..." Suite à un problème technique nous ne pouvons vous diffuser l'intégralité de ce témoignage.
Alors, motivés ? Eh bien, qu'attendez-vous ? Vous avez jusqu'au 1er mai inclus pour changer définitivement le cours de votre vie en tentant de gagner à mon super jeu-concours du mega mois anniversaire du blog le plus discret du monde !
MàJ-13h20 : Comme quoi, quand on motive les troupes... J'ai un gagnant du jeu lancé hier. Il s'agit de Ben, 2 des quatre mains de ce blog, et voici sa réponse (exacte bien sûr). Bravo bel homme :
Franck Black...
Franck Black est le nom du personnage de Millenium, il est également compositeur de Where is my mind chanson exceptionnelle de la fin de Fight club... Pour les autres c'est plus dur mais il a fait une reprise de In heaven extraite de eraserhead et écrit I Gotta Move : hommage à Peter Ivers et Jack Nance compositeurs du film de Lynch , et son nom est mentionné dans la chanson Fire water burns : " I'm not black like Barry White no I am white like Frank Black is..."
Franck Black est le nom du personnage de Millenium, il est également compositeur de Where is my mind chanson exceptionnelle de la fin de Fight club... Pour les autres c'est plus dur mais il a fait une reprise de In heaven extraite de eraserhead et écrit I Gotta Move : hommage à Peter Ivers et Jack Nance compositeurs du film de Lynch , et son nom est mentionné dans la chanson Fire water burns : " I'm not black like Barry White no I am white like Frank Black is..."
beune qui aime trop les jeux
3 commentaires:
Petite précision, Peter Ivers est bien le compositeur de In Heaven (Lady in Radiator Song), mais Jack Nance est l'acteur qui joue Eraserhead. C'est David Lynch qui a écrit les paroles. Mais tout cela n'enlève rien à ta gloire et ton succés présent. You are the champion, the winner, the king of the hill, top of the pops of this concours !
De plus dans la chanson Fire Water Burn du Bloodhound Gang, il y est fait référence à une chanson des Pixies, Monkey Gone To Heaven : "If man is 5, and the devil is 6 than that must make me 7, this monkey's gone to heaven" sachant que les paroles originales étaient les suivantes ; "if man is 5, and the devil is 6, than God is 7, this monkey's gone to heaven..."
J'aime la précision, le détail.
Ok j'en prends note...
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